Dernière mise à jour :
En demandant un itinéraire (pour aller de « A »
à « B » il vaut mieux prendre l'option
« à pied ») dans Google Maps, Google
vous propose un itinéraire tracé sur sa carte.
La
nouvelle version de « Google Maps » vous permet
d'imposer un point intermédiaire « C »
très facilement :
En amenant votre curseur sur l'itinéraire tracé, vous verrez le message ci-dessous affiché :
« Déplacer la ligne pour modifier l'itinéraire »
Il suffit d'appuyer sur le bouton gauche de la souris, amener le
curseur sur « C » avant de le relâcher.
Google recalcule l'itinéraire
(en fait les itinéraires
: de A à C et puis de C à B).
Vous pouvez continuer cette procédure jusqu'à l'obtention de votre résultat escompté : ajouter les points intermédiaires, pour contraindre de plus en plus les choix.
Vous partagez l'itinéraire ainsi obtenu à l'aide de son lien (adresse), que vous pouvez sauvegarder ou envoyer (en haut à droite) aux autres.
Limitation actuelle : Google Maps n'a
pas tous les chemins de randonnée, etc.
Ainsi il refuse de
vous faire passer par les endroits pour lesquels il ne « connait »
pas de chemin d'accès (par exemple certains bois).
Si vous
essayer d'amener votre curseur sur ce genre de points, il vous ramène
aux points « accessible » les plus proches de
celui que vous souhaiter lui imposer.
Soit vous en contentez de
ces approximations, soit vous passer par la solution de créer
une carte.
Puisque vous allez sauvegarder « vos » cartes, il vous faut un compte Google.
Si vous n'avez pas de compte Google,
vous pouvez
Créez-la maintenant ! (Java nécessaire)
Vous
pouvez lui fournir votre adresse courriel actuel.
Ensuite dans « Google Maps » tapez sur Mes cartes.
En tapant sur le bouton approprié (« crée
une nouvelle carte »), pour représenter votre
itinéraire,
vous aurez la possibilité de tracer une
suite de lignes, (en appuyant sur le 3ème bouton en haut à
gauche de la carte
et y ajoutant des repères). Vous pouvez
aussi lui donner un titre, description etc...) avant de le
sauvegarder.
Les possibilités d'intervenir sur une carte, entre les
collaborateurs désignés, sont étendues.
Dans
cette solution, vous allez mettre vos points où vous voulez
(plus de refus !),
mais vous êtes obligés de tracer
entièrement votre itinéraire manuellement.
(Je ne me
suis pas amusé d'étudier la possibilité de
combiner les 2 !!)
Ceci est une traduction et conversion au système métrique
de la rubrique « Measuring
Chain Wear » et Jobst
Brandt on Chain Maintenance :
La longueur d'un maillon
complet (en fait 2 petits maillons) d'une chaîne neuve est
exactement de 1 pouce (1" =
25,4 mm).
A l'usage, les boulons (extérieurs)
s'usent et agrandissent leurs trous.
L'usure d'une chaîne
est donc la différence entre la longueur actuelle d'un maillon
complet et sa valeur initiale (25,4 mm).
D'après Jobst
Brandt, jusqu'à 0.5%, elle est acceptable.
Voici une manière rapide, nécessitant seulement une règle de 30 cm, pour juger cette usure :
Mettez le zéro de votre règle sur l'axe (le milieu) d'un boulon (rivet) de la chaîne
chercher le premier rivet dépassant le trait qui correspond à 25,4cm de votre règle, et lisez sur la règle la valeur en face du milieu de ce rivet
la différence entre la valeur en face de l'axe de ce rivet et 25.4 correspond à l'usure de votre chaîne, 3 cas de figures sont possibles :
si l'usure < 1,3 mm (0.005 * 254 = 1,27 mm) tout va bien
si l'usure est autour de 0.5% (1,3 mm), il n'est peut-être pas trop tard pour remplacer seulement la chaîne
si elle est supérieure ou égale à 1% (2,5 mm pour notre cas), il faut remplacer aussi bien la chaîne que la cassette des pignons
si l'usure est entre ces deux seuils (0.5% et 1%),
vous
pouvez vous contenter de ne remplacer que la chaîne,
mais
cela au risque de l'user trop rapidement à cause des pignons
déjà fatigués.
La réponse est dans la transformation du champs
électromagnétique avec les lampes tel que celles-ci.
Nous utilisons la lampe de devant pour nos vélos en ville
(puisqu'il suffit d'être vu).
Il est à signaler que
le Danemark a changé sa législation pour permettre
l'utilisation des lumières clignotantes sur les vélos
en ville.
Avec de plus en plus de matériel marchant sur piles
(éclairages divers, GPS, etc.), nous avons trouvé
astucieux d'utiliser des appareils utilisant les piles rechargeables
standard
(AA ou AAA) et d'amener avec nous un chargeur solaire de
piles acheté chez énergie
douce.
Cette solution, avec quelques piles de rechange chargées à bloc avant le départ, nous a permis d'être indépendants pour un mois en Finlande, d'ailleurs pas tellement ensoleillé durant notre séjour.
Ci-dessus,
vous constatez que le chargeur était souvent bien orienté
vers le ciel !